Conformément au décret n° 2019-15 paru le 8 janvier 2019, hsf doit publier les résultats de son index des égalités salariales femmes-hommes avant le 1^er mars.

Pour les entreprises de moins de 250 salariés, cet index est calculé sur 4 indicateurs appréciés sur une période annuelle de référence (l’année 2024 ici) et pour un total de 100 points.

Le résultat de l’index 2024 est désormais officiel et hsf obtient les résultats suivants :

• Écart de rémunération entre les femmes et les hommes : 29/40 (+2 pts)
• Écart de taux d’augmentations individuelles : 35/35 (=)
• Salariées ayant bénéficié d’une augmentation à leur retour de congé maternité : 15/15 (=)
• Nombre de salariés du sexe sous-représenté parmi les 10 plus hautes rémunérations : 5/10 (=)

 Soit un score final de 84 points sur 100 (9 points au-dessus des attentes du décret et 2 points de progression par rapport à 2023).

« Conformément aux articles L.1142-9-1 et D.1142-6-1 du Code du travail, hsf a fixé les objectifs de progression suivants dans les indicateurs où la note maximale n’a pas été atteinte :

• Écart de rémunération entre les femmes et les hommes : 29/40

Après avoir constaté que les écarts de rémunération proviennent essentiellement de la répartition des sexes dans les différentes CSP (surreprésentation féminine dans les catégories les moins élevées), hsf s’engage à encourager le recrutement et la promotion des salariées dans les catégories les plus élevées. En outre, elle s’engage à demeurer vigilante sur l’égalité salariale entre les femmes et les hommes dans des situations comparables (poste, diplôme et expérience professionnelle équivalents).

• Nombre de salariés du sexe sous-représenté parmi les 10 plus hautes rémunérations : 5/10

Hsf s’engage à tendre, dans la mesure du possible et selon les emplois disponibles, vers une augmentation du nombre de personnes du sexe féminin parmi le top 10 des plus hautes rémunérations. »